jeudi 9 septembre 2010

Vue de l’intérieur : Gaëlle, Vicomtesse d’Oléron

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Si la Fête était un adjectif ?

Haletante

Si la Fête était un animal ?

Une biche

Si la Fête était un bruit ?

Le ferraillement d’un duel

Si la Fête était un film ?

Fanfan la Tulipe

Si la Fête était un lieu ?

Un bosquet au détour d’une allée

Si la fête était un objet ?

Le sceptre royal

Si la Fête était un personnage célèbre ?

Jean Baptiste Poquelin, dit Molière

Si la Fête était un livre ?

Orgueil et préjugés, Jane Austen

Si la fête était un sentiment ?

L’exaltation

Si la Fête était une chanson ou un morceau de musique  ?

La Suite pour violoncelle n°6 en Ré Majeur de Jean Sébastien Bach

Si la Fête était une couleur ?

Le blanc de l’hermine

Si la Fête était une découverte qui a marqué l’histoire ?

Le chocolat

Si la Fête était une fleur ?

La fleur d’oranger

Si la Fête était une odeur ?

La viande grillée

Si la Fête était votre plat préféré ?

Des macarons 

Un oubli se doit d’être réparé!!

Déjà deux messages aujourd’hui sur ces pages, et nous ne réalisons que maintenant que nous n’avons pas encore partagé avec vous l’affiche de notre belle manifestation.

Alors pour le plaisir des yeux, admirez notre belle Comtesse de Courcouronnes qui a prêté son charmant minois pour l’occasion.

FFS 02 mini

Et si jamais vous avez une question ou deux, nous sommes à votre écoute!

Bouche à oreille…

 

Le grand jour approche, et cela n’a pas échappé à beaucoup de personnes sur la toile cybernétique.

 

Allez donc faire un tour sur ces quelques adresses… Et pourquoi pas en pas écrire vous aussi quelques lignes sur la Fête de la Forêt de Sénart?

 

La Communauté d’Agglomération du Val d’Yerres

 

Le blog de Cyril

 

La Commune de Soisy sur Seine

 

La Seine et Marne.com

 

Tourisme.fr

 

La Commune de Corbeil-Essonnes

 

Le Blog des Saltimbanques

 

L’Essonne

 

Le Forum du Bal de Versailles

 

Commune d’Etiolles

 

91 Secondes

 

Nous attendons avec impatience vos articles et vos commentaires!

 

A bientôt!

Dédicace exceptionnelle!

 

La Fête de la Forêt de Sénart, c’est aussi un journée vouée à la culture.

En collaboration avec la Librairie Chauvelin, nous vous proposons donc une séance de dédicaces.

 

Althéa ou la colère d’un

 

roi

Karin HANN

 

Elle aura lieu de 12 à 17 Heures

 

L’auteur

 

 

Doctorante en Lettres à la Sorbonne, Karin Hann devient l’assistante de Patrick Poivre d’Arvor sur TF1 et LCI pour ses émissions littéraires Ex Libris, puis Place aux livres et Vol de nuit durant quatorze ans. A l’antenne, elle chronique des livres de littérature classique que le plateau de Place aux livres. Passionnée d’histoire, elle est membre du jury du Grand Prix du Roman Historique organisé par Floryse Grimaud chaque printemps au musée Carnavalet, aux côtés de Jacques Chancel, Stéphane Bern, Philippe Vallet, Daniel Picouly, Gilbert Sinoué, Pascal Ory, Jacques de Saint-Victor, Jean-marc Léri… Elle est aussi membre du jury du Prix Marcel Pagnol qui fête ses dix ans d’existence cette année. Karin Hann fait partie de l’association es “Amis de Vaux-le-Vicomte”.

Althéa ou la colère d’un roi est son premier roman

 

Le Livre

 

09-09-2010

 

Althéa, orpheline, est élevée par les époux Fouquet. Nicolas Fouquet, alors surintendant des finances de Louis XIV, est l’homme le plus riche et le plus influent du royaume. L’enfant grandit à Vaux-le-Vicomte entourée de tous les artistes et hommes de lettres que compte le siècle. Le point culminant de cette existence heureuse et raffinée sera la fête que donne Fouquet en l’honneur du Roi en août 1991. Ce dernier s’offusque de tent de munificence et fait arrêter son ministre. Alors commence la descente aux enfers d’un procès honteux et de la réclusion à perpétuité. La famille est séparée, le train de vie réduit à sa plus simple expression. Althéa, devenue une femme, tente alors le tout pour le tout afin de faire libérer son père adoptif, aidé en cela de Mergenteuil, dont elle est éprise. Ensemble, ils découvrent la trame d’un vaste complot…

 

Propos de l’auteur :

 

Althéa ou la colère d’un roi est né d’un coup de foudre. Adolescente, mes parents m’ont emmenée à Vaux-le-Vicomte et j’ai senti naître en moi une véritable passion pour ce domaine. Mes études m’ont permis d’étudier plus particulièrement le XVIIème et le XIXème siècle en littérature, et naturellement, en abordant La Fontaine à la Sorbonne, j’ai découvert les fameuses “élégies aux nymphes de Vaux”. Les pièces du puzzle ont commencé à s’assembler… La Fontaine se battait contre un monarque absolu au risque de perdre sa pension qui lui permettait de vivre (il l’a d’ailleurs perdue !!), il fallait tout de même que la cause vaille la peine d’être défendue. Qui était donc ce surintendant Fouquet qui avait fait naître ce domaine enchanteur pour tout perdre ensuite? Je me suis documentée, j’ai lu de nombreux ouvrages sur le sujet pour me rendre compte que la vie de Fouquet était à elle seule un roman !

J’ai toujours voulu écrire, mais je ne souhaitais pas rédiger une biographie. Cela a été fait – et très bien fait – avant moi. Il m’apparaissait nécessaire d’avoir cette distance romanesque, cette liberté de ton. Dans le même temps, je souhaitais la présence d’un personnage qui pointerait cette injustice, un personnage qui serait autre que Fouquet lui-même, et qui serait là pour mettre en lumière les dérives de l’absolutisme, et ce que l’on appellerait aujourd’hui les “dégâts collatéraux” de ce procès inique. Car on se doute qu’il ne s’agit pas du seul emprisonnement de Fouquet mais de la ruine de toute une famille, de l’opprobre jetée sur les descendants et même d’une mère (l’épouse Fouquet) séparée de ses enfants.

Althéa était née. Mon personnage serait féminin, car beaucoup de femmes au travers des siècles se sont battues courageusement pour leurs idées, je pense à Olympe de Gouges ou à la duchesse de Berry, sans forcément obtenir la place qu’elles méritaient à la postérité. J’ai donc voulu créer un beau portrait de femme, engagée, volontaire, décidée, qui ne renonce pas devant l’injustice et décide de se battre intelligemment, c’est-à-dire sans être broyée elle-même. Elle devait à mon sens incarner la vie qui continue malgré le drame, son triomphe sur le pouvoir de destruction. Althéa est une femme qui se relève quand elle trébuche, qui sera amoureuse, mère, et restera debout au nom de cette vie qui doit continuer coûte que coûte. Enfin, le souhaitais écrire un roman historique qui s’adresse à un large public. Il ne s’agit ni d’un réquisitoire, ni d’un plaidoyer. Mon but était de permettre au lecteur d’effectuer un joli voyage dans le temps, d’y apprendre des choses, sans jamais s’y ennuyer. SI l’on referme Althéa ou la colère d’un roi en disant “je me suis évadé dans la lecture, et me suis enrichi dans mes connaissances” alors le pari est gagné !”

 

Venez nombreux partager avec Karin Hann votre passion de l’histoire et de la littérature!